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Tout a commencé lorsqu’on m’a confié des travaux de rédaction web, au milieu de ma carrière. Le contexte ? Une application de coaching scolaire et de développement personnel pour les étudiants.
C’est donc « sur le terrain » que j’ai vraiment appris à générer du contenu SEO pour autrui. (Compétences qu’une formation en marketing digital et rédaction web chez Visiplus Academy est venue valider plus tard.)
J’ai alors eu en charge la production d’articles notamment à l’attention des parents. Les jeunes entre 15 et 20 ans avaient accès à d’autres contenus.
J’ai également rédigé des sessions directement à destination de ces lycéens et étudiants.
Contents
Connaître la ligne éditoriale et la cible
Avant toute chose, il faut savoir quelle ligne éditoriale est mise en place et qui est la cible.
Cela garantit une certaine homogénéité à l’ensemble du site ou de la rubrique. C’est aussi indispensable pour s’adapter à la voix et au ton utilisés.
Je regarde ce qui déjà est en ligne. Et, en général, je pose beaucoup de questions !
Dès lors, je m’adapte.
Je prépare mes notes, j’attaque mon plan suivant l’angle demandé, et je mets YouTube en marche.
C’est parti pour des heures de boulot en musique !
Le plan
J’ai voulu vous trouver un plan tout prêt, simple et efficace.
(Contrairement au reste du contenu de mes articles, celui-ci provient de ChatGPT — oui, j’ai triché sur ce coup !)
Si je vous a mis une structure déjà préparée, ce n’est pas pour garder la mienne secrète. Je n’ai pas de recette magique. Malheureusement.
Personnellement, j’ai tendance à noter le titre principal et commencer par la conclusion avec les appels à l’action. Mais cela dépend aussi de ce qui m’est demandé.
Ensuite, seulement, je rédige l’introduction et le corps de l’article.
Oui, je fais un peu le contraire de ce que vous dis de faire ! 😅
La recherche
[Attention ! On ne vous demande pas de devenir un spécialiste des thèmes que vous abordez.
J’ai rédigé un article, par exemple, sur le fonctionnement de la mémoire. Je ne peux pas pour autant prétendre être devenue une experte des neurosciences et de la méthodologie !
J’avoue même avoir déjà oublié ce que j’y écrivais…]
Si l’on n’est pas soi-même du secteur de l’entreprise ou du particulier qui nous délègue la rédaction de ses contenus, alors il faut s’informer le plus possible pour maîtriser à minima son sujet.
C’est une question de crédibilité professionnelle.
C’est aussi un respect pour le lecteur : vous vous adressez à lui au nom d’une marque ou d’une personne.
Il est important de lire les études menées par des fondations ou des universités faisant foi. Connaître les chiffres officiels ou les infographies réputées est une preuve de sérieux de plus.
Quand on est un tant soit peu perfectionniste, on peut passer BEAUCOUP de temps avant de trouver des informations ou des sources pertinentes…
D’ailleurs, puisqu’on parle de sources, je les note en fin de page. Je mets le lien qui permet au lecteur de cliquer pour lire l’article original, si ce dernier souhaite en savoir plus.
La rédaction
Ça y est, vous avez collecté toutes les informations nécessaires à la rédaction de votre contenu ?
Bravo ! Vous avez votre plan, vos ressources et toutes les données dont vous avez besoin. Maintenant, il faut attaquer.
À noter : Google préfère les phrases concises et les paragraphes courts.
- Définissez les mots-clés pour votre référencement. (Mais n’en mettez pas à « toutes les sauces » non plus !)
- Trouvez des titres et des sous-titres percutants.
- Poser une question peut être une bonne introduction.
- Surtout pas de copier-coller en provenance d’un autre site ! (Google déteste ça.)
- Variez vos mots grâce au champ lexical propre à votre sujet et votre angle.
- Utilisez un vocabulaire compréhensible et expliquez les points troubles.
- Répondez au besoin de votre internaute.
- Insérez des listes à puces, des liens, des vidéos, des images ou des graphiques, des statistiques ou des infographies.
La conclusion
- À ce stade, on n’introduit plus de nouvelles informations.
- Par contre, on fait un résumé des points importants.
- Il est bien de ne pas dépasser 6 lignes.
- On termine sur une note forte : question, ouverture à la réflexion, etc.
- Là, je répertorie mes sources avec les liens externes vers leurs sites ou articles.
- Enfin, on conclut par un « appel à action » (un bouton « s’abonner à la newsletter », par exemple.)
N’oubliez pas non plus de bien décrire vos visuels (balise ALT) et de légender vos images si besoin.
Vérifiez le contenu qui s’affiche lors des partages sur les réseaux sociaux. Vérifiez que l’image mise en avant se télécharge bien. (N’hésitez pas à réduire le poids de vos illustrations. Vous trouverez de nombreux sites en ligne pour le faire)
Vous avez des conseils à donner à la communauté ? Vous souhaitez partager votre propre méthodologie ? Ou bien vous avez des questions ?
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